Savoir Écouter : L’art de l’Écoute Active en Famille

Savoir Écouter : L’art de l’Écoute Active en Famille

Savoir Écouter : L’art de l’Écoute Active en Famille

L’écoute active est-elle bénéfique pour la famille ?

Au quotidien, nous avons parfois vite fait de passer à côté des émotions ou des besoins de notre famille. Pourtant, le psychologue Carl Rogers souligne qu’« Une bonne communication est le chemin vers une meilleure compréhension mutuelle et des relations plus fortes. » Pour favoriser un climat de confiance, renforcer les liens familiaux, résoudre les conflits, l’écoute active se révèle être un puissant outil ?

L’étude du Harvard Family Research Project montre que les enfants ont plus de confiance et s’épanouissent mieux dans une famille qui pratique une communication empathique et ouverte.

 


Ses principes : comprendre d’abord, répondre après

1. Un moment sans distraction

On a vite fait de se laisser distraire par nos activités ou nos téléphones. L’écoute active demande en premier lieu d’accorder toute son attention à l’interlocuteur. Vaste programme ? Pourtant, comme le dit le psychologue Haim Ginott : « Le moment présent est le seul cadeau que nous puissions vraiment offrir à nos enfants. »

 

2. Entendre, nommer les émotions

Derrière les mots se cachent les émotions … à comprendre et à valider. Il s’agit d’une habitude à intégrer pas à pas.

L’écoute active n’est pas seulement d’entendre le message verbal, mais celui de l’émotion. Par exemple, face à un enfant qui dit : « Je ne me sens pas bien, je ne veux pas aller au collège … », tu peux entendre qu’il y a probablement une difficulté. Pourquoi pas lui demander « Tu sembles tracassé par quelque chose au collège ? Et si tu en parlais ? »

En réagissant ainsi, tu montres ton attention à ses ressentis.

 

3. Feed-back : clarifier en reformulant

Nous pouvons confirmer qu’on bien compris grâce à la reformulation. Par exemple, si ton ado te repporche de ne jamais le laisser sortir le soir ! », nous pourrions répondre « Tu as l’impression que je ne te fais pas confiance le soir pour sortir. C’est bien cela ? ». Le dialogue s’ouvre !

 


L’écoute active : bénéfices sur la dynamique familiale

La confiance et la complicité se renforcent

Avec ce type d’écouté sans jugement, les enfants de votre famille ressentent plus de facilité à s’ouvrir.

Les enfants ont 30 % plus de chances de se confier et d’éviter ses conduites à risque quand les parents pratiquent l’écoute active. C’est ce que révèle une étude de l’Université de Californie

Résoudre les conflits de manière constructive

Les tensions familiales sont normales et inévitables. Cependant, l’écoute active transforme souvent ces moments en chance de grandir ensemble. Ouvre la porte à des discussions plus constructives et plus sereines. Apprendre à écouter les émotions t’évite progressivement de te mettre sur la défensive.

 


L’écoute active en pratique !

1. Montre ton langage corporel ouvertement

70% de la communication est non verbale ! On peut transmettre autant qu’avec des mots, parfois plus par les expressions faciales et la posture. C’est par exemple se pencher légèrement vers l’enfant, le regarder en hochez la tête et un petit son d’approbation “hum !”.

 

2. Plus des questions ouvertes

Des questions comme : « Peux-tu m’en dire plus ? » ou « Comment tu te sens “ ouvrent la conversation… davantage que les questions fermées qui se répondent par « oui » ou « non » !

 

3. Et surtout éviter d’interrompre

Avant de répondre, laisser l’enfant s’exprimer, démontre ton attention, ton respect de ses idées et ses sentiments.

 


L’écoute active : simple et accessible !

Tu n’as pas besoin de formation complexe pour faire l’écoute active. C’est juste un petit effort avec l’intention de se connecter plus sincèrement. Pour le psychologue Carl Rogers : « Une écoute authentique est un acte d’amour. »

Adopter cette approche, c’est ouvrir la porte du respect, pour donner plus de confiance aux enfants et transformer les interactions en opportunités de compréhension et d’harmonie. Si tu veux partager la découverte de ce type de communication. Avec d’autres adultes, tu peux découvrir les prestations Faber Mazlish que je propose

Alors, pourquoi ne pas essayer dès maintenant ? Juste cinq minutes, pour essayer, tester l’écoute active avec un membre de la famille et constater la différence. Tu pourrais être surpris par une connexion plus profonde.

 

 

 

 

 

Savoir Écouter : L’art de l’Écoute Active en Famille

L’écoute active est-elle bénéfique pour la famille ?

Au quotidien, nous avons parfois vite fait de passer à côté des émotions ou des besoins de notre famille. Pourtant, le psychologue Carl Rogers souligne qu’« Une bonne communication est le chemin vers une meilleure compréhension mutuelle et des relations plus fortes. » Pour favoriser un climat de confiance, renforcer les liens familiaux, résoudre les conflits, l’écoute active se révèle être un puissant outil ?

L’étude du Harvard Family Research Project montre que les enfants ont plus de confiance et s’épanouissent mieux dans une famille qui pratique une communication empathique et ouverte.

 


Ses principes : comprendre d’abord, répondre après

1. Un moment sans distraction

On a vite fait de se laisser distraire par nos activités ou nos téléphones. L’écoute active demande en premier lieu d’accorder toute son attention à l’interlocuteur. Vaste programme ? Pourtant, comme le dit le psychologue Haim Ginott : « Le moment présent est le seul cadeau que nous puissions vraiment offrir à nos enfants. »

 

2. Entendre, nommer les émotions

Derrière les mots se cachent les émotions … à comprendre et à valider. Il s’agit d’une habitude à intégrer pas à pas.

L’écoute active n’est pas seulement d’entendre le message verbal, mais celui de l’émotion. Par exemple, face à un enfant qui dit : « Je ne me sens pas bien, je ne veux pas aller au collège … », tu peux entendre qu’il y a probablement une difficulté. Pourquoi pas lui demander « Tu sembles tracassé par quelque chose au collège ? Et si tu en parlais ? »

En réagissant ainsi, tu montres ton attention à ses ressentis.

 

3. Feed-back : clarifier en reformulant

Nous pouvons confirmer qu’on bien compris grâce à la reformulation. Par exemple, si ton ado te repporche de ne jamais le laisser sortir le soir ! », nous pourrions répondre « Tu as l’impression que je ne te fais pas confiance le soir pour sortir. C’est bien cela ? ». Le dialogue s’ouvre !

 


L’écoute active : bénéfices sur la dynamique familiale

La confiance et la complicité se renforcent

Avec ce type d’écouté sans jugement, les enfants de votre famille ressentent plus de facilité à s’ouvrir.

Les enfants ont 30 % plus de chances de se confier et d’éviter ses conduites à risque quand les parents pratiquent l’écoute active. C’est ce que révèle une étude de l’Université de Californie

Résoudre les conflits de manière constructive

Les tensions familiales sont normales et inévitables. Cependant, l’écoute active transforme souvent ces moments en chance de grandir ensemble. Ouvre la porte à des discussions plus constructives et plus sereines. Apprendre à écouter les émotions t’évite progressivement de te mettre sur la défensive.

 


L’écoute active en pratique !

1. Montre ton langage corporel ouvertement

70% de la communication est non verbale ! On peut transmettre autant qu’avec des mots, parfois plus par les expressions faciales et la posture. C’est par exemple se pencher légèrement vers l’enfant, le regarder en hochez la tête et un petit son d’approbation “hum !”.

 

2. Plus des questions ouvertes

Des questions comme : « Peux-tu m’en dire plus ? » ou « Comment tu te sens “ ouvrent la conversation… davantage que les questions fermées qui se répondent par « oui » ou « non » !

 

3. Et surtout éviter d’interrompre

Avant de répondre, laisser l’enfant s’exprimer, démontre ton attention, ton respect de ses idées et ses sentiments.

 


L’écoute active : simple et accessible !

Tu n’as pas besoin de formation complexe pour faire l’écoute active. C’est juste un petit effort avec l’intention de se connecter plus sincèrement. Pour le psychologue Carl Rogers : « Une écoute authentique est un acte d’amour. »

Adopter cette approche, c’est ouvrir la porte du respect, pour donner plus de confiance aux enfants et transformer les interactions en opportunités de compréhension et d’harmonie. Si tu veux partager la découverte de ce type de communication. Avec d’autres adultes, tu peux découvrir les prestations Faber Mazlish que je propose

Alors, pourquoi ne pas essayer dès maintenant ? Juste cinq minutes, pour essayer, tester l’écoute active avec un membre de la famille et constater la différence. Tu pourrais être surpris par une connexion plus profonde.

 

 

 

 

 

Des Mots qui Inspirent la Coopération des Enfants

Des Mots qui Inspirent la Coopération des Enfants

Des Mots qui Inspirent la Coopération des Enfants

Les mots employés choisis sont-ils si importants ?

Leur pouvoir est immense. Ils motivent, encouragent, ou peuvent blesser et décourager. Pour favoriser leur coopération, chaque mot compte lors de vos interactions avec less enfants. Influant psychologue, Carl Rogers écrit que « l’empathie commence par les mots que nous choisissons. » C’est pourquoi je recommande de prêter attention à notre manière de nous adresser aux enfants.

De récentes études montrent qu’exposés à un langage positif et constructif, les enfants développent une meilleure estime d’eux-mêmes et sont plus enclins à collaborer. Même si la perfection n’existe pas, les mots de bienveillance permettent de créer la confiance dans un climat de respect mutuel.


Quels mots choisir pour inspirer ?

1. Parlez avec respect et empathie

Auteur de “Entre parent et enfant” Haim Ginott affirme : « Les mots que nous utilisons peuvent bâtir ou détruire une relation. Parlons pour connecter, et non pour corriger. »

Comme les adultes, les enfants réagissent mieux à un langage empreint de respect. Alors, pourquoi pas, plutôt que donner des ordres, exprimer vos attentes avec suggestions et description ?

Par exemple, plutôt que de dire « Range le placard tout de suite ! », pourquoi pas essaye : « Le placard est en désordre. Comment peux-tu ranger les chaussettes pour que ce soit plus joli ? ».

 

2. Le pouvoir de phrases positives

L’étude de l’université de Stanford montre que les enfants sont 30 % plus susceptibles de coopérer s’ils reçoivent des commentaires positifs, et ce durablement.

Je recommande donc d’encourager plutôt que de critiquer. Une remarque négative motive souvent moins qu’une phrase positive.

Par exemple : l’enfant aime sans doute mieux « Ah, je constate que tu as essayé ! Comment te sentirais-tu si on trouvait une autre façon de faire ? » que « Tu fais tout de travers ! ».

 

3. Les demandes engagent

 

Valorise la responsabilisation et l’autonomie, développe des compétences cruciales pour l’avenir.

Imaginez-vous à formuler vos attentes sous forme de questions ouvertes qui impliquent votre enfant plutôt que d’imposer,

Exemple : « Comment pourrais-tu t’organiser pour ranger ta chambre avant 17H ? »

 

Soyons vigilants aux travers courants…

1. Les critiques qui blessent

« Tu ne fais que des bêtises ! » sape la confiance, même enferme l’enfant dans un rôle.

2. Les comparaisons entre enfants

Fréquemment, comparer un enfant à d’autres enfants est contre-productif. Cela crée des tensions inutiles et de la compétition.

« Regarde comme ta sœur travaille bien, elle ! »

3. Chantage et menaces

« Si tu ne ranges pas de suite, tu seras puni ! » risque d’entraîner un ressentiment. Cela marche à court terme, mais ne rends pas l’enfant volontairement coopérant.


Quels mots encouragent la coopération ?

1. La Reconnaissance des efforts, même minimes

L’enfant se sent reconnu et valorisé lorsque le parent fait le pas pour approuver ses compétences.

2. Verbaliser les émotions

Cela met l’enfant en contact avec ce qui se passe en lui et l’aide à l’accepter… et se sentir accepté.

3. Créer plus dialogue… surtout après des tensions !

A. Faber et H. Mazlish ont structuré tout un programme pratique pour s’entrainer à ces habiletés relationnelles et les appliquer chez soi ! Cela renforce la confiance et l’autonomie.


Les mots sont l’architecture du pont vers la coopération.

Les mots du quotidien peuvent être de vrais tremplins pour vous et la coopération des enfants. Empathie, valorisation des efforts, et critique transformé en description en sont le terreau ! Si tu veux découvrir des ressources concrètes et éprouvées, pour le mettre en pratique, je te propose de découvrir ma section de formations Faber Mazlish.

« Ce qui compte le plus, ce n’est pas ce que nous faisons, mais comment nous le faisons », écrit Carl Rogers. Alors…

Prêts à t’entrainer à choisir des mots ?

 

DES MOTS QUI INSPIRENT LA COOPÉRATION DES ENFANTS

Les mots employés choisis sont-ils si importants ?

Leur pouvoir est immense. Ils motivent, encouragent, ou peuvent blesser et décourager. Pour favoriser leur coopération, chaque mot compte lors de vos interactions avec les enfants. Influent psychologue, Carl Rogers écrit que « l’empathie commence par les mots que nous choisissons. » C’est pourquoi je recommande de prêter attention à notre manière de nous adresser aux enfants.

De récentes études montrent qu’exposés à un langage positif et constructif, les enfants développent une meilleure estime d’eux-mêmes et sont plus enclins à collaborer. Même si la perfection n’existe pas, les mots de bienveillance permettent de créer la confiance dans un climat de respect mutuel.


Quels mots choisir pour inspirer ?

1. Parlez avec respect et empathie

Auteur de “Entre parent et enfant” Haim Ginott affirme : « Les mots que nous utilisons peuvent bâtir ou détruire une relation. Parlons pour connecter, et non pour corriger. »

Comme les adultes, les enfants réagissent mieux à un langage empreint de respect. Alors, pourquoi pas, plutôt que donner des ordres, exprimer vos attentes avec suggestions et description ?

Par exemple, plutôt que de dire « Range le placard tout de suite ! », pourquoi pas essayer : « Le placard est en désordre. Comment peux-tu ranger les chaussettes pour que ce soit plus joli ? ».

 

2. Le pouvoir de phrases positives

L’étude de l’université de Stanford montre que les enfants sont 30 % plus susceptibles de coopérer s’ils reçoivent des commentaires positifs, et ce durablement.

Je recommande donc d’encourager plutôt que de critiquer. Une remarque négative motive souvent moins qu’une phrase positive.

Par exemple : l’enfant aime sans doute mieux « Ah, je constate que tu as essayé ! Comment te sentirais-tu si on trouvait une autre façon de faire ? » que « Tu fais tout de travers ! ».

 

3. Les demandes engagent

 

Valorise la responsabilisation et l’autonomie, développe des compétences cruciales pour l’avenir.

Imaginez-vous à formuler vos attentes sous forme de questions ouvertes qui impliquent votre enfant plutôt que d’imposer,

Exemple : « Comment pourrais-tu t’organiser pour ranger ta chambre avant 17H ? »

 

Soyons vigilants aux travers courants…

1. Les critiques qui blessent

« Tu ne fais que des bêtises ! » sape la confiance, même enferme l’enfant dans un rôle.

2. Les comparaisons entre enfants

Généralement, comparer un enfant à d’autres enfants est contre-productif. Cela crée des tensions inutiles et de la compétition.

« Regarde comme ta sœur travaille bien, elle ! »

3. Chantage et menaces

« Si tu ne ranges pas de suite, tu seras puni ! » risque d’entraîner un ressentiment. Cela marche à court terme, mais ne rends pas l’enfant volontairement coopérant.


Quels mots encouragent la coopération ?

1. La Reconnaissance des efforts, même minimes

L’enfant se sent reconnu…

2. Verbaliser les émotions

Cela met l’enfant en contact avec ce qui se passe en lui et l’aide à l’accepter… et se sentir accepté.

3. Créer plus dialogue… surtout après des tensions !

A. Faber et H. Mazlish ont structuré tout un programme pratique pour s’entrainer à ces habiletés relationnelles et les appliquer chez soi ! Cela renforce la confiance et l’autonomie des enfants.


Les mots sont l’architecture du pont vers la coopération.

Les mots du quotidien peuvent être de vrais tremplins pour vous et la coopération Des enfants. Empathie, en valorisation des efforts, et critique transformée en description en sont le terreau !

« Ce qui compte le plus, ce n’est pas ce que nous faisons, mais comment nous le faisons », écrit Carl Rogers. Alors…

Prêts à t’entrainer à choisir des mots ?